Les déchets abandonnés dans la nature
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Les déchets sont partout. Ils sont jetés dans la nature, en ville, dans les rivières, dans les montagnes, sur les plages. Ils s'accumulent dans certains lieux pour finir en dépôts sauvages souillant les champs, les forêts, les paysages. Tout ceci se fait au mépris de l'environnement et des lois. Sans oublier que la gestion de ces déchets abandonnés est un gouffre financier pour les collectivités donc les contribuables.
L'unique responsable de cette situation désastreuse est l'humain qui par son manque d'éducation et de respect détruit ce que la planète lui a confié.
Les déchets dans la nature en chiffre
Au cours de l'année 2015 en Belgique, le ramassage des déchets sur les principales routes nationales et les autoroutes situées en Wallonie a coûté à la région environ 7,5 millions d'euros.
Au cours de l'année 2018 en France, c'est environ 520.000 tonnes de détritus qui ont été ramassés aux abords des routes, des cours d'eau et au sein des espaces naturels. Parmi ces dépôts sauvages, on y répertorie notamment des canettes, des bouteilles en verre ou en plastique, des déchets ménagers, des préservatifs, des produits médicaux, de la litière pour chats, des appareils électroménagers hors d’usage, etc.
Les déchets au quotidien
Se promener au milieu des déchets et des dépôts sauvages est devenu tellement commun que cela ne nous choque même plus. A la limite, habitués à vivre dans de telles conditions insalubres, certains instinctivement jetteront eux aussi leur canette, leur mouchoir ou leur chewing-gum au sol. N'ayant même pas conscience qu'ils sont en infraction, ils se diront qu'un déchet de plus ou de moins ne fait pas de différence et qu'il y a bien un employé d'une collectivité locale qui le ramassera lors de sa tournée.
Ces incivilités, qui sont commises aussi bien par les jeunes que par les personnes plus âgées, sont un manque de respect envers la société. De plus, elles sont une réelle nuisance et potentiellement un grave danger environnemental.
Sans oublier, la majorité des personnes qui prennent le temps de trier méticuleusement leurs déchets et qui, face au laxisme des autorités et aux dépôts d'ordures, pourraient se décourager.
Et ce n'est pas les nombreuses campagnes de sensibilisation et les articles qui sont diffusés dans les médias privés et publics qui font que la situation évolue favorablement. En plus de ne pas servir à grand chose, elles ont un coût considérable, un budget qui pourrait être utilisé plus intelligemment.
Face à ce constat, il est désolant de voir que rien n'est vraiment fait afin de trouver une solution. Tout le monde se rejette la balle pendant que les incivilités persistent et que les déchets continuent de s'amonceler devant nos portes.
Sommes-nous condamnés à léguer à nos enfants une décharge à ciel ouvert ou avons-nous le pouvoir d'agir afin que nos villes et nos campagnes redeviennent propres ? Nous allons répondre à cette interrogation et vous proposer des solutions dans cet article qui aurait pu s'intituler "C'est arrivé près de chez vous".
Un déchet c'est quoi ?
Dans l'absolu, un déchet issu de l'activité humaine devrait être complètement recyclé et valorisé. Des solutions existent et d'autres verront le jour prochainement. A nous de faire le maximum afin d'en produire de moins en moins afin de ne pas nuire à l'environnement.
Les déchets se classent en trois catégories : les déchets industriels, les déchets diffus et les déchets domestiques.
Les déchets industriels et l'environnement
Ce sont les déchets qui proviennent de la fabrication de biens de consommation : métaux, verres, papiers, plastiques, frigolites, substances chimiques. La loi est très stricte avec ce type de produits qui doivent suivre un parcours de recyclage strict ou être stockés dans des lieux et dépôts sécurisés afin de ne pas nuire à l'environnement.
Les déchets diffus et l'environnement
Ce sont les déchets qui sont fabriqués à plus petite échelle et utilisés par les entreprises, les artisans, les agriculteurs et les commerçants. Dans cette catégorie on y trouve les peintures, les solvants, les acides, les graisses, certains produits chimiques, les amalgames dentaires, etc. La loi impose un traitement correct et sécurisé de ces substances afin d'en diminuer leur impact environnemental.
Les déchets domestiques et l'environnement
Ils ne sont pas uniquement des ordures ménagères, mais aussi tout ce qui n’est pas considéré comme une ressource énergétique comme :
Les emballages
Chaque famille produit en moyenne 7 kg de déchets d'emballage ménagers par semaine. Ces emballages sont constitués majoritairement de cartons, de divers contenants en plastique, de barquette ou canette en aluminium.
Les déchets d’équipement électrique et électronique
On les appelle aussi les DEEE. Ils sont devenus des déchets courants, car les technologies changent très vite. Aujourd’hui, on trouve beaucoup de téléphones portables et d’ordinateurs usagés. Il y a aussi les appareils électroménagers, les produits ménagers électriques, les lampes et même les jouets.
Les produits chimiques usés.
Ils sont présents dans plusieurs produits de consommation courante comme dans les vêtements, les hydrocarbures, les huiles synthétiques, les produits de bricolage et ménager, les cosmétiques, etc. Même à petite quantité, ils peuvent causer de nombreux dégâts durables à la faune et à la flore.
Les déchets médicaux
Ce sont ceux qui présentent le plus de danger pour la santé humaine. Tous les déchets médicaux non traités sont cancérigènes et peuvent être à l’origine de maladies graves telles que le cancer, le diabète, l’arthrite rhumatoïde, la fibromyalgie, les dérèglements hormonaux et la maladie d’Alzheimer. Ils sont des déchets spéciaux car ils contiennent des produits toxiques et corrosifs. La présence de ces substances peut entraîner une contamination des sols et des nappes phréatiques. De plus, les déchets médicaux doivent être éliminés de manière sûre car leur combustion peut provoquer des maladies respiratoires et des problèmes cardiaques. Enfin, la réutilisation des détritus médicaux peut amener à des contaminations accidentelles.
Pourquoi tant de déchets dans la nature ?
La pollution est un phénomène que l’on observe dans plusieurs pays à travers le monde, à tel point qu’elle menace la santé de la terre et des êtres vivants qui y vivent. A l'heure des grandes manifestations pour le climat et contre la déforestation en Amazonie, nous sommes en droit de nous poser cette question :
Pourquoi les gens continuent-ils à jeter leurs ordures dans la nature ou à alimenter les dépôts sauvages sans se soucier des conséquences néfastes que cela peut avoir ?
Voici quelques éléments qui, sans les justifier, peuvent expliquer ces attitudes paradoxales.
Ils ne savent pas où jeter leurs déchets.
Cette raison est la plus évoquée par les personnes prises en flagrant délit par la police.
Au cours d'une excursion dans les bois ou lors d'un pique-nique au bord d'un lac, les promeneurs ont dans leur sac à dos ou dans leur panier leurs repas soigneusement emballés dans du papier aluminium, dans un film alimentaire ou dans un sac en papier kraft. Les couverts, les canettes et bouteilles de plastiques ou en verre font également partie du voyage. A la fin du repas, se pose la question des restes et surtout des emballages alimentaires qui jonchent le sol.
Les personnes responsables, qui ont du respect pour l'environnement regrouperont le tout et glisseront les déchets dans leur sac à dos ou dans leur panier. Arrivés à la maison, ils pourront les trier ou en faire du compost.
La poubelle publique est pleine.
Est ce vraiment une raison pour tout abandonner à côté de cette poubelle déjà remplie de détritus. Une personne responsable se mettrait en quête d'une autre ou ramènerait ses détritus à son domicile.
Tout le monde jette ses déchets partout.
Ici c'est l'excuse classique qui justifie, aux yeux de certains, leur acte répréhensible. Ils argumenteront que si les autres le font, il n'y a aucune raison de ne pas le faire. Même si c'est mal, si c'est nuisible, que cela peut dans certaines circonstances tuer un animal, ils jetteront leur canette vide dans un champ où sont présents un troupeau de vaches. Dans leur esprit, une canette de plus ou de moins ne pollue pas plus et n'est pas un danger pour les animaux. D'autres en constatant qu'il y a une décharge sauvage non loin de chez eux, iront déposer l'un ou l'autre détritus. Ici encore, l'absence de réaction rapide des collectivités afin de lutter contre cette pollution conduit à une banalisation du dépôt d'ordures.
Ils ne savent pas que les déchets polluent la Terre
L’ignorance est une des causes majeures de pollution. Les gens ne savent pas que leur action peut affecter la planète, surtout lorsqu’ils jettent leurs déchets dans les rivières et les lacs. Comme ceux-ci disparaissent sous l'eau ou s'éloignent avec le courant, les pollueurs imaginent que ce qu'ils ont jeté s'évanouit comme par magie. Un peu comme l'enfant qui se cache les yeux quand il ne veut pas voir la réalité. Malheureusement, ce n'est pas le cas et nombre de déchets plastiques ou autres sont ingurgités par les animaux aquatiques causant de nombreux empoisonnements et décès.
Ils n’ont pas d’argent pour acheter des sacs de la commune pour leurs déchets
Depuis plusieurs dizaines d'années, les autorités ont, en plus d'une taxe annuelle, instauré un système de collecte de déchets sélectifs. Les PMC et les cartons sont enlevés par les éboueurs afin de les recycler et de les valoriser. Les encombrants sont, selon les villes, récupérés à des dates précises ou peuvent être déposés dans des centres de recyclage public. En ce qui concerne les ordures ménagères, elles sont ramassées selon deux procédés :
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Les containers à puces qui, à chaque ramassage, comptabilisent le poids des ordures. Cette façon de procéder permet aux collectivités de faire payer à chaque famille un montant correspondant aux déchets ainsi jetés.
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Les sacs poubelles payants, achetés auprès de la commune ou auprès des commerçants, sont selon la consommation du ménage, une façon de participer financièrement au traitement des déchets.
Malgré ce service de ramassage régulier, une minorité de la population estime qu'elle ne doit pas participer financièrement aux recyclages et à l'élimination de ses ordures. Il est plus facile et plus rentable pour ces personnes de les abandonner au mieux près d'une bulle à verre, au pire dans un lieu discret ou aux abords d'un bois ou d'un champ.
Les vieilles habitudes tenaces face aux déchets
Des personnes qui pour certains sont, par leur métier ou par leur origine, proche de la nature, pensent que le recyclage est inutile. Ils sont convaincus que c'est encore une histoire créée de toutes pièces par des bobos écologistes résidant en ville et qui ne connaissent rien à l'environnement. Ayant souvent de grande propriété, ils ont l'habitude d'enfouir ou bruler leurs déchets.
La Terre est assez grande pour absorber tous les déchets
Tout comme ceux qui imaginent que la Terre est plate, il y a ceux qui pensent que la nature, les animaux sont là pour éliminer leurs détritus, que les dépôts sauvages de déchets vont disparaitre d'eux-mêmes et être recouverts par une végétation luxuriante. Une réaction désinvolte qui peut être assimilée à celle qui consiste à cacher la poussière sous le tapis.
Les ouvriers sont payés pour ramasser les déchets
Au-delà de ce mépris flagrant pour une catégorie d'employés communaux, ceux-ci ne peuvent être derrière chaque citoyen pollueur. La tâche est tellement immense et sans fin, qu'il serait nécessaire d'engager des milliers d'employés pour uniquement éviter que la situation ne se dégrade encore plus. Sans oublier les dépôts sauvages de déchets qui demandent des moyens techniques, de transports et de traitements colossaux. Des services à la population qui s'élèvent chaque année à plusieurs dizaines de millions d'euros à charge des communes et des régions.
Si le nombre d'incivilités pouvait diminuer, les ouvriers communaux qui passent leurs journées à ramasser les ordures laissées par les autres pourraient être affectés à des tâches plus épanouissantes comme l'embellissement de nos villes et la protection de notre environnement. Tous le monde serait gagnant.
Les dépôts clandestins de déchets
Ces dépôts sauvages de déchets à grande échelle sont un véritable fléau pour les propriétaires des terrains où ils ont lieu et les collectivités locales qui ont pour mission d'enlever des tonnes d'objets divers. Ces décharges à ciel ouvert sont souvent constituées d'encombrants (pneus, gravats, matériaux de construction, meubles, gros électroménagers, etc.). Les auteurs de ces dépôts sauvages ont un sentiment d'impunité car ils savent très bien qu'ils ont très peu de chances d'être identifiés et que si c'est le cas, ils ne risquent pas grand-chose.
L’impact des déchets sur la nature
D’un point de vue écologique, les déchets sont une menace pour l'environnement. En effet, plusieurs espèces animales et végétales sont affectées par leur présence et leur accumulation à long terme.
Ils polluent l'air ainsi que l'eau lorsque les pluies entraînent avec elles les résidus toxiques. Le plus souvent ces substances dangereuses s'infiltrent dans les nappes phréatiques ou s'écoulent dans les cours d'eau.
La fermentation de certains types d'ordures émet du méthane, un gaz qui est connu pour son effet de serre très important et qui contribue au réchauffement climatique.
En ce qui concerne les importantes décharges sauvages de déchets qui contiennent aussi bien des ordures ménagères que des produits réglementés car nocifs, elles peuvent être la proie d'un incendie et libérer des gaz toxiques dangereux pour l'environnement et la santé.
Quelle est la durée de vie des déchets dans la nature ?
Les déchets sont composés de différents types d'éléments. Certains sont biodégradables et d'autres pas. La durée qu'il faut pour qu'un détritus se décompose naturellement est de quelques semaines à plusieurs milliers d'années. Par exemple, un mouchoir en papier peut mettre 3 mois avant d'être éliminé tandis qu'une bouteille en verre mettra 5.000 ans avant de disparaître complétement.
Les politiques face aux déchets
A force de ne pas prendre les bonnes décisions et ainsi contribuer à un certain laxisme, les politiques participent activement à la dégradation environnementale. Les responsables en charge de ce dossier n'y pensent qu'au moment des élections ou quand un article paraît dans le journal.
En ce qui concerne l'Union européenne, ses 27 membres et ses 705 députés, le problème semble être dérisoire à leurs yeux ou simplement ne pas exister. Aucune politique commune n'est mise en place afin de lutter contre ces pollutions du quotidien qui touche les citoyens de chacun des états membres. La balle nauséabonde est renvoyée aux niveaux inférieurs qui en feront autant pour finir dans les mains de l'employé communal ou régional.
La police et la justice face aux déchets
Du côté de la police, lutter contre les incivilités de tout genre n'est pas la priorité. En sous-effectif tout comme les ouvriers communaux, ils ne peuvent être partout dans l'espace publique.
Du côté de la justice, il n'est pas question de condamner à l'emprisonnement tous ceux qui sont coupables d'incivilités mais de les conscientiser. De leur expliquer en quoi leur acte est d'une part irrespectueux et d'autre part a un impact environnemental néfaste. En ce qui concerne les récidivistes qui ne craignent ni la loi ni les sanctions administratives et qui continuent à nuire à l'environnement, quelques dizaines d'heures de travaux généraux seront nécessaires. Ces responsables des dépôts sauvages de déchets, ainsi confrontés à leurs actes délictueux, auront ainsi le temps de méditer et qui sait de devenir des protecteurs de la nature.
Dépôts de déchets... les amendes prévues
En Belgique, comme dans beaucoup de domaines, la gestion des déchets sauvages et des dépôts clandestins est régionalisée. Des lois et de nombreux décrets ont été instaurés afin d'essayer de lutter contre ces incivilités.
- En Wallonie, le jet d'un mégot de cigarette, d'un chewing-gum ou d'une canette est sanctionné d'une amende de 200 euros. En ce qui concerne l'abandon d'un sac poubelle ou d'un bidon d'huile usagée, l'amende peut atteindre 300 euros. En cas de décharge sauvage de déchets, l'amende varie selon la quantité et la nature des ordures à enlever. La sanction dans ce cas précis peut être très lourde car l'amende peut s'élever à plusieurs milliers d'euros.
- En Flandre, la personne identifiée comme ayant commis un dépôt de déchets devra payer une redevance de 125 euros par sac, ce qui couvre le nettoyage de la zone et le traitement des déchets. Elle devra s'acquitter en plus d'une amende administrative qui varie selon l'importance de ceux-ci.
- En région Bruxelloise, les sanctions varient selon les communes. A titre d'exemple, à Uccle, les amendes pour incivilités et dégradations peuvent atteindre 350 euros. Sur le territoire de la ville de Bruxelles, l'amende pour l'abandon d'une canette est de 200 euros et le dépôt clandestin de meubles est sanctionné d'une amende de 500 euros par mètre cube.
En France, jeter, déposer, abandonner ou déverser tout type de déchet dans un lieu privé ou sur la voie publique est puni par la loi et entraîne une amende forfaitaire de 135 euros.
Les solutions pour limiter les déchets abandonnés
Afin que les bonnes résolutions ne restent lettre morte comme celles qu'on promet de respecter à chaque nouvelle année, il est temps de prendre conscience que nous pouvons tous, à notre niveau, agir afin de changer les choses et de réduire sensiblement les incivilités qui ont lieu aussi bien à la ville qu'à la campagne.
L'éducation et les déchets
Apprendre aux plus jeunes à respecter l'environnement est une évidence qui n'est malheureusement pas assez souvent prise en compte par les acteurs en charge de l'éducation nationale. Par exemple, des exercices pratiques de tri sélectif des emballages peuvent être organisés régulièrement au sein des établissements scolaires publics et privés . Cela permettrait aux enfants de différencier les emballages écologiques de ceux qui posent problème.
Nos bambins, en âge scolaire, sont capables de comprendre qu'il est important de participer à préserver la nature et les animaux. En plus d'agir concrètement pour leur avenir, ils auront les mots pour convaincre leurs aînés de participer activement à la sauvegarde de la planète. Une chaîne familiale qu'il faut absolument entretenir pour le bien de tous.
Le tri sélectif des déchets
La majorité de la population, à la maison, le fait déjà consciencieusement. Nous privilégions les emballages recyclables à ceux en plastique ou en frigolite. Nous trions nos déchets et les plaçons dans les contenants dédiés aux différentes catégories (PMC, carton, végétal, huile et graisse). Certains vont, lors de leurs courses, jusqu'à prendre avec eux leurs bocaux ou caisses afin d'encore plus limiter les emballages.
Les communes doivent à tout prix encourager les actions dans ce domaine en respectant elles-mêmes les lois en vigueur et éviter de commettre des infractions. Ce qu'elles ne font malheureusement pas toujours.
L'éradication des dépôts sauvages
Les dépôts clandestins de détritus en tout genres doivent être le plus rapidement identifiés et traités. Les laisser à l'abandon n'est pas une solution viable et donne l'impression que les lois sont faites pour être bafouées. Que les collectivités locales face aux nombreux dépôts sauvages sont débordées et incapables de trouver une solution. Pendant ce temps, les personnes indélicates continueront, au mépris de la loi, à alimenter les dépôts sauvages de déchets et le problème ne fera que se dégrader.
Tous ensemble contre les déchets
La pollution domestique n'est pas une fatalité, la Suisse en est la preuve flagrante. La propreté pour le citoyen helvétique est ancrée dans sa culture. Des pays comme la Norvège, la Suède, la Finlande ou l'Autriche sont également des modèles à suivre afin de lutter contre nos mauvaises habitudes.
Ce n'est qu'ensemble que nous réussirons à nettoyer et à préserver notre environnement. Même si la tâche peut paraître colossale, il est temps de se réveiller, d'ouvrir les yeux et de passer à l'action. Chaque citoyen a l'obligation de se retrousser les manches pour éviter que ce soit nos enfants qui ne soient obligés de nettoyer les déchets et les dépôts sauvages que nous leur aurons, par fainéantise ou par indifférence, légués.
Ils sont perdus
Luna — Chat perdu Belgique à Nimy — 15/09/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Grise
- Type de pelage long poil
- Comportement Amical mais peut être peureuse
- Puce électronique Non
WLG - Pili — Chat perdu Belgique à SERAING — 10/10/2024
- Sexe Mâle
- Castré/stérilisé Oui
WBR - Spirou — Chat perdu Belgique à Rixensart — 09/10/2024
- Sexe Mâle
- Couleurs Blanc et roux
- Type de pelage Poils courts
- Comportement Affectueux , gentil
- Castré/stérilisé Oui
- Puce électronique 166678
BRU - Loupi — Chat perdu Belgique à UCCLE — 09/10/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Blanc roux noir
- Type de pelage Court et tacheté
- Comportement Vadrouilleuse independante
- Castré/stérilisé Oui
Ils ont été trouvés
Chat trouvé Belgique à Braine-le-Comte — 09/10/2024
- Couleurs Gris et blanc
- Type de pelage Tigré
- Comportement Gentil, pas très peureux
Chat trouvé Belgique à Molenbeek-Saint-Jean — 08/10/2024
- Sexe Femelle
- Type de pelage Tigrée
- Comportement Câlines et sociables
- Castré/stérilisé Non
Chat trouvé Belgique à Wasmes — 24/09/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Blanc, grise et brun
- Type de pelage Cours
- Comportement Calme, câline
- Castré/stérilisé Non
- Puce électronique Aucune
Chat trouvé Belgique à Carnières — 05/10/2024
- Sexe Femelle
- Couleurs Brun
- Type de pelage Court
- Comportement Peureuse
- Castré/stérilisé Oui
- Puce électronique Non